Convocation des freres... [PV en attente]

Mais pourquoi j'étais là, tous seul comme un idiot devans la porte du bureau de l'homme que je concidérais comme mon pere, pourquoi ma main tremblait -elle? Quelle question je le sais bien pourquoi, Gret'chen, ma tendre et douce princesse... Je soupira m'assis sur une des chaises plutot confortable de la salle d'attente et refléchit. Qu'es que j'allais dire, qu'es que j'allais faire si il ne me donner pas son aval... Je secoua la tete, essayant de chasser mes idées noires,..; j'entendis du bruit, leva la tete, quelqu'un arriver. Je me demandait bien qui cela pouvait -etre... Peut etre Noctis, peut etre un éleve... Au ciel mais qu'es qu'on vas devenir, nous deux, les deux seul prof au monde à etre tomber dans les bras de deux de leur élèves... Nouveau soupira, j'attendais.

_ Noctis...

Souffle impreceptible, c'était lui, nous étions la pour la même chose. Je soupira, me leva. Lança un regard vers mon petit frere et m'avança vers la porte:

_ Soit fort petit frere, et je t'en pris reste calme.

Je disait ça mais je n'étais pas sur de pouvoir garder mon calme moi meme si jamais il m'empecher d'etre avec elle... Ma main sur la poignet du bureau, j'appuya d'un geste que j'aurais aimer déterminer, j'atais anxieu de ce qui ce passerais, mais Pere avait toujours était juste alors,... au pire je démissionnerais !! Nous entrames donc et arriver devan le bureau, je me tint droit, me forçant à ne pas regarder dehors.

« J.Bowmore »

Assis confortablement dans mon fauteuil, je lisais les derniers mots d'une lettre. Je chassai la larme solitaire qui coulait sur ma joue. Je me redressai et commençai à écrire. Comme à mon habitude, j'utilisais une plume noire sur un papier marqué par les années. C'est de cette façon que je laisse ma marque, comme ça, elle est sûre que je suis l'auteur. Je suis vieux mes amis, depuis bien des années l'Académie est debout. Un jour, je devrais arrêter tout ça. Partir seul pour mourir seul. Je soupirai. Mon poignet douloureux m'empêcha de continuer ma lettre. Je posai la plume et retournai la feuille face cachée. Aujourd'hui j'avais convoqué deux de mes meilleurs élèves. Deux de mes meilleurs professeurs. Arän Karachy et Noctis Tinuviel. Aujourd'hui, j'allais les tester. Les tester comme j'aimais bien le faire avant. Ces deux là ont toujours réussi les tests. Je ne doute pas qu'ils réussissent ceux-là. Mais... Un problème empêchera leur entière concentration. Ce problème a un nom, et il nous touche tous un jour où l'autre. L'Amour.

"Arän... Noctis... Mettez-vous à l'aise, il se peut que nous parlions pendant plusieurs heures..."

J'étais debout en face de la baie vitrée, j'admirai les élèves qui vivaient gaiement dans le parc de l'Académie. Notre rêve s'est réalisé mon frère. Dommage que tu ne puisses pas voir ça... Je me téléportai devant la porte et la fermai à clé. Personne ne devait entrer. Comme j'en connais un qui ne frappe pas avant d'ouvrir... Je soupirai et m'assis sur mon fauteuil. J'observai les deux adultes. Oh, c'est sûr, ils avaient bien poussé. Mais il y a certaine chose que l'on ne perd pas. Je leur ai appris des choses qu'ils ne pourront jamais oublier. Et s'ils oublient... Je ne pourrais plus rien faire pour eux.

"Savez-vous pourquoi je vous ai convoqué ... en même temps ?"

(Je fais cours pour toi Mari, juste avant de partir sous les hurlements de mon père xD )

Comme un félin prêt à mordre, j’étais resté debout. J’aurais été un gros chat, je vous assure que j’aurais déjà feulé. Mon regard était sérieux, dur et déterminé. J’étais tellement sûr qu’il comptait nous interdire cette relation que je me laissais pour une fois aveugler par la colère.

— Oui, je le sais ! Et vous n'avez rien à dire, vous n'avez pas à nous juger. Mon cœur ne bat plus pour moi désormais et vous le savez. Alors allez y empêchez-moi de l'aimer et vous aurez ma mort sur la conscience...

J’avais crié et pourtant petit à petit, au fur et à mesure que je comprenais les paroles de mon cœur, j’avais fini par chuchoter. Mes paroles c’étaient taris sur un murmure. Je baissa la tête et serra mes poings, le long de mon corps. Bon sang... Arän aide moi.

Mais Tait toi Noctis, espece d'abruti, comment peux tu parler ainsi à notre pere, à celui à qui nous devns d'etre sorti de cet orphelina... Je secoua la tete genillement, excusant sa jeunesse d'âme m'inclina face à notre pere, me releva pour le regarder mais je ne vis que la robe blanche dans l'herbe pres de la baie vitré... Bon concentration:

" Pere, je sais également pourquoi vous nous avez fais venir et je suis d'accort avec Noc sur le fait d'etre séparer d'elle, je démissionnerais si vous le souhaitez, mais jamais je ne l'abandonnerais, elle m'as confié son coeur je ne la decevrais jamais! Même si je suis moin vif que mon jeune frere je n'en pense pas moin, mais veillez tout de même excuser ses paroles inaproprier."

Je ne me détacherais jamais de mon implacable politesse. J'avais pour moi l'art de baratiner comme disait certain que je ne citerais pas, et je n'ésiter pas à m'en servire pour arriver à mes fin. Mon regard violet ce posa dans la bleu du sien et le duel pu commençé.

* Jamais je ne te laisserais gagner!*

« J.Bowmore »

Dites-moi que je rêve. Serais-je en train de faire un bond dans le passé ? Je me revois très bien, assis sur ce même fauteuil, le jeune Noctis de l'autre côté du bureau. Je ne me rappelle que trop bien quand il se laisse envahir par la colère. Noctis... Noctis... As-tu déjà tout oublié ? Ne te rappelles-tu pas toutes ces fois où tu étais là, juste devant moi ? Où tu commençais à bouillir en croyant que j'allais t'interdire certaines choses ? Ne te revois tu pas, enfant, devant mon bureau, les poings serrés et le visage marqué par l'étonnement ? J'aimais te vois t'enrager, j'aimais te faire croire que j'allais tout t'interdire. Allons, Noctis, ne te rappelles-tu pas combien mon esprit est tordu ?

Je soupirais. Oui, c'est clair, Arän a toujours été plus poli. Grand baratineur. Toujours prêt à user de sa politesse pour avoir ce qu'il veut. A utiliser son charme d'adolescent pour que nous le laissions faire ce qu'il voulait. Ta langue est dangereuse Arän. Aussi dangereuse que la colère de ton "frère". Quel duo de choc vous formez tous les deux ! Vous n'avez pas changé !
L'ombre d'un sourire apparut sur mon visage. Sourire qui se transforma en grimace. Que j'aimerais revenir en arrière, revoir vos têtes d'adolescents, vos esprits d'adolescents. Revoir les sourires qui illuminaient votre visage. Ce temps est si loin maintenant. Vous êtes grand, mes enfants, vous avez changé. Tellement changé. Votre esprit est devenu plus mûr, plus... adulte. Votre physique n'a fait que suivre. Vous verrez, quand vous serez aussi vieux que moi, vous regarderez le monde d'une autre façon. Oui, encore une fois. Vous changerez, votre esprit sera plus sage, ou alors... il sera idiot et vous mourrez.

"Noctis... Arän... Vous avez toujours été brillants. Auriez-vous oublié tout ce que je vous ai appris ? Ne jamais laisser la colère vous emporter. Trouver la question avant la réponse. Toujours... Alors, quelle est la question ?"

Mon regard illuminé par l'espoir se posa sur les deux professeurs. Je me levais, ignorant les cris de protestation de mes articulations. Je fis quelques pas pour m'approcher de la baie vitrée. Je m'arrêtai et croisai mes mains dans mon dos. J'observai mon parc, mes élèves, mes professeurs, mon académie. Mes yeux se posèrent sur une robe blanche que portait une jeune fille. Elle tourna la tête, croisa mon regard bleu. Elle sembla réfléchir et sourit avant de se concentrer de nouveau sur ce qu'elle faisait. Je souris très légèrement et sans me retourner, je questionnai les deux "frères".

"Alors ? Avez-vous trouvé la question ?"