La musique aide a oublié la tristesse. LIBRE

Me voilà dans le bateau, je venais d'embrasser entre deux larmes ceux qui m'ont toujours, accompagnés. Je déposai en hâte mes derniers sacs, j'étais à bord du vindilis. Ce bateau avait une histoire tragique. Je me tordis la cheville entre les sièges, en courant. Je tombais, serrant le poing. je grimpais en vitesse sur le ponton, Je me relevai en sortant d'un bond. Il me faisait signe, certain avait eux aussi des larmes roulant des joues d'autres les cachés, se serrant les un les autres sur les bras. Quelque part leurs larmes me réconfortai. Nous nous lancions quelques paroles, et des gestes de la main pour se dire au revoir. Sachant le coeur serrai que ceci n'étais pas un terrible cauchemar. Soudain un ami sortit un cd dont je ne pus lire le nom et me cria:
Tu le rattrapes?

J'aquiesçai, un dernier défi ne faisait jamais de mal. Il le lança, trop haut ce coup-ci. Je dus grimper sur un dossier de banquettes et faire un bond dans les airs pour le rattraper.

Je rattrape toujours. Dit-je

le coeur plus léger l'espace d'un instant. Puis un homme me lança un au revoir, je le connaissais, c'était Joëlle. Je serrai fort le cd contre mon coeur. Puis il retira les cordages. Observant alors les larmes qui roulaient sur mes joues, Joëlle me rassura d'un regard. Puis le cri strident de l'alarmes retentit pour annoncer le départ des gens. Alors bien tôt l'ile ne fut plus qu'une ombre. Je m'assit et m'intéressa alors à la tenue que j'avais choisie aujourd'hui. Mes éternelles converse noires, fatiguer par les kilomètres. Mon sarouel/baggy trés large réduisant les mouvements, rouge. Un t-shirt TELFISAKI: marque belle iloise. Et mes cheveux coiffé d'un chapeau rasta. Puis l'air fraichi. J'avais oublié a quelle point malgré le soleil qui illumine la terre il faisait froid sur ce continent, et auquel point il était polluer ce continent. Je mis un gros pull TELFISAKI. Armer de mes bagages volumineux je descendis du navire.

J'enfilai mes écouteur dans les oreilles. Mais les retirai l'instant d'aprés. Prit un vieux baladeur avec le disque a insérer dedans. Je prit donc mon disque et l'inséra dans le vieux baladeur. Puis remit les écouteurs dans mes oreilles. Ils y avaient insérer en plus un petit messages de soutient pour les coups dur. Alors la tristesse me submergea à nouveau et je me sentit alors pleurer je fit demi tour et revint au prés des grilles. M'asseyant sur mes bagages. Je sortit alors ma guitare et joua de la musique chantant en même temps. Ma voie étais celle d'une grande chanteuse me disaient-on. Mais je m'arrêtat observant que des gens arrivait. Rangeant au plus vite ma guitare. Et prit alors mon téléphone, appuyant rapidement sur les touches de mon téléphone composant un numéros. La sonneriedurait je priai pour qu'ils répondent mais il ne le faisait jamais. J'eut la parole aprés le bip.

- Oui c'est moi, j'éspére que vous vous amusez bien, tu ne réponds pas et pourtant je sais que tu as ton téléphone avec toi, c'est dommage j'allais rentrer dans l'académie, j'avais besoin de parler. Je vais pas essayer d'appeler Owen vous devez être ensemble. Enfin bref vous me manquez, et je vous aimes.

Soudain j'entendit un skate et me posta devant mes bagages comme pour les protéger. Prête à encaisser le choc. Mais l'homme s'arrêtat avant. Les larmes roulait alors encore sur mes joues. Je m'attendais à ce que mon téléphone sonne. Il étaient surement en train de dévaler une descente avec un long board. Je les enviaient. Puis l'homme m'adressa la parole. Je retint un sanglot.

Salut, je viens d'un endroit que tu ne connait pas.

Affirmais-je d'un faux airs souriante. A vrai dire je ne savait pas si j'avais envie de parler, mais c'était sans doute mieu que de rester seule...