Entre détente et espérance [PV]

Ninie vient dire a tout le monde combien tu m'aime xD

Je ne comprennais pas pourquoi il y avait dans mes tableau une femme vetue d'une grande robe blanche... Mais cela importé peu, elle rendais mais tableau réelle comme si elle pouvait lur donner vie, leur donner une âme et les rendre vivant, faire bouger les feuille des arbres peint... L'oeuvre du jour était une image de cerisier en fleurs illuminant de boteau et irradiant de calme, au center d'eux et de leurs neige rose ce trouver cette femme vetue d'une robe blanche. Un derniere coup de pinceau ici, une petite touche de coulaur là... Mon oeuvre était fini.

Un soupir échappa au proffesseur d'art plastique, alors qu'en payant il checher des idées pour ses éleves, pour les interrésser à son art. Il ce leva, s'étira avan de reculer et de comtempler son tableau... Il était fiere de lui.

« Gret'chen »

Aujourd'hui j'avais besoin de recul. Je serais bien allée faire un tour dans la forêt ou vers les ruines. Mais je resterais dans le parc aujourd'hui. Ce matin j'ai prévenu Kassandra. Je lui ai dis que je partirai vagabonder en solitaire. En appuyant bien sur ce dernier mot. Elle a haussé les épaules et s'est assise sur le canapé, devant la télévision. Alors j'ai mangé rapidement et je suis partie. Profitant de la fraîcheur du matin. J'avais enfilé un débardeur blanc et un jeans. Je saluai de la main les amis de Kassandra. Ils étaient nombreux. Et entrai dans le parc. Il n'y avait presque personne et je fermai les yeux. Goutant à la beauté de la solitude et la douceur de la liberté. La caresse du vent amplifia mes sentiments. Je rouvris les yeux et m'arrêtai. Plus loin devant il y avait le professeur d'Art Plastique.

Je baissai la tête et m'assis sur un banc. Observant les environs. Il était seul et visiblement, il avait fini une peinture. Je ne voulais pas vraiment lui parler. Je savais que ça ne servait à rien de me cacher alors je plantai mon regard gris sur la rivière qui zigzaguait devant moi. Puis j'entendis un léger cri d'hystérie que mon ouïe modifiée avait entendu comme s'il avait été crié juste à côté de moi. Je tournai la tête pour voir deux filles embêter le professeur. Je fronçai les sourcils ne comprenant pas tout. Personnellement, moi je n'aimerais pas. Sans vraiment m'en rendre compte, je m'imaginais la première fille se gratter à des endroits pas très... Tandis que la deuxième vomissait. Je secouai la tête et regardai de nouveau le professeur quand j'entendis des rires de garçons.

La première fille avait une énorme plaque rouge sur le ventre jusque dessous son maillot et pareil dans le dos tandis que ça descendait aussi sous sa jupe pour ressortir sur ses cuisses nues. Elle se grattait frénétiquement et partit en pleurant, essayant de calmer ses démangeaisons. La deuxième avait des haut-le-coeur et essayait de ne pas vomir. Elle partit en courant jusqu'à son appartement tandis que ça commençait déjà à sortir de sa bouche. La honte avait transformé leur visage en tomate. Un immense sourire étira mes lèvres et je reportai mon attention sur un couple de canard. Je ne comprenait tout d'abord pas que c'était de ma faute.

Des petites pestes attirées par mon phisique et l'apparence extérieur que j'affichais, voila la parfaite description des jeunes filles qui gloussaient autour de moi. J'allais partir, tout du moin les renvoyer quand elles partirent d'elles même prises de mal inconnus. Elles furent malades comme ça d'un coup et moi je souris soulagé d'etre débarrassé de toute ces filles. Puis je regarda autour de moi à la recherche de mon sauveur ou de ma sauveuse... Et mes yeux ce poserent sur elle, Gretchen, dans sa robe blanche en train d'admirer le bal d'un couple de canard flottant sur l'eau. Je souris presque tendrement avans de me lever et d'aller la voir. Ma voix s'éleva douce et avec un ton d'excuse:

" Merci. Il me semble que je te doive mon salut sur ce cou face à ces furies en chaleur."

Je m'assis à ses cotéset joigni mon regard au sien dans la contemplation du bal des deux volatiles.Silencieusement. Mon cerveau tournait trop vite pour que je puisse réfléchir, comprendre ou même parler. La femme en robe blanche de mes reves et de mes pensées, celle qui hantée mes tableau depuis quelques temps... Elle ce tennait assise à coté de moi et une question me faisait mal au crane et hurler en boucle dans ma tete:

"Pourquoi?"

« Gret'chen »

J'étais complètement à l'ouest et je ne l'entendis pas arriver. Pourtant il s'approcha. Arän. Le prof d'Art Plastique. Je regardai les canards sans vraiment les voir. Puis je sentis une chaleur à côté de moi. Je revenais peu à peu dans la vrai vie quand il parla. Je sursautai et tournai la tête pour le regarder. Je ne comprenais pas. Je tournai la tête pour éviter ses yeux et réfléchis à toute allure. Qu'avais-je fait encore ? Je revis les filles tourner autour du prof. Je devins livide. La seconde d'après elles étaient parties en courant. Une en train de vomir, l'autre qui se grattait. De livide je passai à écarlate. Je baissai la tête et regardai le sol. La honte s'abat sur moi, ce n'est vraiment pas mon jour.

''Je suis désolée... J'ai encore du mal à me contrôler...''

Excuse à deux balles. Pourquoi n'avais-je pas trouvé mieux ? Je baissai encore plus la tête et me concentrai sur une petite fourmi noir qui portait un bout de feuille devant elle. J'aurai pu dire : Excusez moi monsieur, je dois partir. Ou : Excusez-moi mais je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Ou pleins d'autre choses dans ce genre. Pourquoi ça ?! Pourquoi je n'arrive pas à imaginer le mot partir et à le rendre réel ? Je fermai les yeux et serrai les dents. Pourquoi est-ce difficile ? Pourquoi est-ce que j'ai envie de lui dire qu'il lui ressemble ? J'ai envie de fuir mais mes jambes refusent de bouger. J'ai envie de m'enfermer dans ma solitude et de pleurer mais en même temps j'ai envie de me blottir contre lui et de sourire. Je serrais les poings et me forçai à regarder les canards. Pourquoi tout se chamboule dans ma tête ? Il y a deux secondes tout allait bien. Maintenant je ne sais plus quoi faire...

Je la regardais sans comprendre, elle avait du mal à ce controler? Alors.. elle n'avait pas fait espres de me sortir de cette mauvaise passe avec les furies... UN sourir pparu sur mes levres, j'étais heureux, pourquoi je ne sais pas. Peut etre que mone sprit prennait conscience qui si elle n'avait pas agit par volonter cela voulais dire qu'elle avec un certain instinc de protection pour moi.. Donc une sorte d'interet, Heu... Non là c'est mon consiien qui défaille je croit. Je secoua la tete pour me reprendre et lui dit gentillement:

" C'est n'est pas grave, c'est justement pour cela que je te remercie, même si tu aurais pu me toucher au moin, elles sont partient et maintenant nous pouvons discuter."

Hey ! Mais pourquoi je dis ça moi? ... Décidément je perd vraiment la tete, et puis en plus c'était un éleve. Que dirais mon cher Noctis? A par ce foutre de moi parceque je suis sous l'emprise d'une sorciere magnifiquement parfaite? Je soupira anéantis... Je le voyais deja rire aux éclat devans moi alors que je lui avouer un sentiment... Nouveau soupir. Je me releva, m'inclina devans Gretchen et mes main s'agitaire:

" Encore Merci"

Je fis demi tour et reparti vers mon chevalet, ou une femme vetu d'une robe blanche attendais sous les cerisiers en fleurs...

« Gret'chen »

Je l'écoutai sans vraiment entendre. Je le voyais sans vraiment voir. J'étais perdue. Perdue dans un monde que je ne connaissais pas. Dans un monde qui ne pouvait pas être le mien. Non. Ce n'était pas possible. J'avais basculé dans un autre monde. Ou alors je rêvais. Je ne sais pas. Mais ce n'est pas mon monde. Dans mon monde personne ne lui ressemble autant. Dites moi que je rêve. Dites moi que je suis devenue schizophrène. Dites moi que mon cœur ne s'emballe pas pour de vrai. Ce n'est pas vrai, j'invente. C'est mon imagination qui me joue des tours. Et cet fois c'est un tour à mi-chemin entre rêve et cauchemar.

J'avais envie de le retenir, sans vraiment savoir pourquoi. Mais je le laissai partir. J'avais besoin de réfléchir. De rester seule un moment. Je pouvais fuir. Maintenant. Mais je refusai de bouger. Je devais rester assise sur ce banc. Je devais continuer de regarder les canards danser. Je ne devais pas montrer ce que je pensais. Pour une fois il fallait que je me force à fermer les yeux. Je ne devais pas comprendre la vérité. Je ne voulais pas. J'ai peur de ce que je pourrais découvrir. Pour l'instant je préfère penser que je ne sais pas trop ce que je veux, que c'est un passage que tout le monde doit endurer. Je dois me convaincre que ce n'est rien de plus, rien de moins. Un jour tout le monde passe par là. Même si je sais que ce n'est pas vrai.

''Non. Jamais je n'aurais pus te toucher. Jamais je n'oserais imaginer une telle chose. Jamais.''

Je m'étais levée pour m'assoir à côté de lui. J'avais trouvé un banc non loin de son chevalet. Je regardais dans le vide et là, la voix avait parlé. Toute seule. Parce que j'avais pensé lui dire ça. Mais je n'avais pas voulu lui dire. Alors une petite voix intérieure me dit une chose du genre : tu peux pas te taire de temps en temps ? Tu peux pas arrêter de rendre réel ce que tu imagines ? J'avais envie de lui répondre. De lui dire pourquoi. J'avais envie mais je ne fis rien. J'avais la réponse. Mais elle me faisait peur. Devant moi il y avait un mur. Le mur de l'interdiction. Je n'ai pas le droit de le franchir. Mais j'aimerai tant. Pouvoir lui dire ce qu'un élève n'a pas le droit de dire à son professeur. Pour faire ce qu'un élève n'a pas le droit de faire à son professeur. Tout simplement glisser mes bras autour de sa taille et me serrer contre lui comme une enfant ayant peur du noir. Seulement... je n'avais pas le droit de m'inventer une peur... je n'avais pas le droit de le serrer contre moi...

Un sourire plein d'espoir naquis sur mon visage et mes yeux la regardèrent avec des étoiles. Ainsi jamais elle ne pourrais me toucher avec son don... Je rit pour moi même puis la regarda doucement avec quelque chose d'étrange dans les yeux, je vennais de me rendre conte d'une chose: Je ne voyais pas au travers d'elle,ni même au travers de ses vetements... Mon don ne fonctionnait pas sur elle ou alors c'était plus mon inconscient qui me tennait à l'écart d'elle et de son corp mais j'en était heureux. Je ne serais certainement pas l'expliquer mais ses paroles me rechauffaire le coeur, pourquoi je ne le comprennais pas moi même et je reconnue à peine ma voix quand j'ouvris enfin la bouche:

" Je... Je te crois Gretchen."

Je laissa le reste de ma phrase en suspend. Je ne savais pas quoi lui dire, je ne savais pas ce qu'il fallait que je face, j'était totalement pétrifié à la simple idée qu'elle découvre mon obsession pour elle, pour sa magnifique silouette, pour cette robe d'une blancheur immaculée qui était gravé dans ma mémoire comme le symbole de ma rencontre avec cette etre hors du comment qu'elle était... Enfin pour toutes ces raisons et bien d'autre encore, je ne voulais pas qu'elle s'approche.

" Tu... ça t'interresse ce que je fais?"

Mais pourquoi tu as dit ça Arän? Elle vas le voir, elle vas comprendre, tu ne tien pas à ta place ou quoi... Je m'en voulais d'avoir parler mais je n'avais plus le choix, il faudrais que j'assume que je résiste à l'envie irréprécible de la regarder ce mouvoir pour arriver pres de moi, que je résiste à la simple envie de me retourner pour la dévorer du regard quand elle sera la, deriere moi... Je souffla doucement, impreceptiblement pour une oreille non éguisée et ouvrit les yeux mon don désactiver mes yeux était redevenus gris violet. Je n'attendais qu'une seule chose, avoir le bonheur d'entendre son coeur battre deriere moi, à quelques centimetre de moi.

« Gret'chen »

Je... je ne comprend pas. Je ne comprend plus. Tout se mélange dans ma tête. Normalement, j'aurai relevé la faute dans mon prénom. La faute imperceptible pour une oreille pas habituée. Mais moi je l'entends. C'est une apostrophe qui change d'un millimètre la prononciation. Ce changement n'est rien de grave mais j'ai prit l'habitude de le relever. Pour une fois, je ne dis rien. Je n'ai pas envie de dire quelque chose. Apostrophe ou pas, mon prénom semble si beau quand il le prononce. Je le dis et le répète. Le mur de l'interdiction est là, devant moi. Pourtant ma tête s'incline légèrement et je me lève. J'ai l'impression d'être comme attirée par le battement de son cœur, la douceur de sa peau et la mélodie de sa voix. Je ne sais pas. Je ne sais plus.

Ma démarche me semblait plus fluide et plus rapide. Comme si j'étais impatiente de m'arrêter à ses côtés. J'allais m'arrêter mais un groupe de garçon passait derrière moi. Ils étaient dans une conversation animée et captivante, un petit blond marchait en regardant ses compagnons. Je dus faire un pas de plus pour l'éviter. Je pus empêcher mon corps de bousculer celui de Arän en me déplaçant sur le côté mais je ne pus empêcher ma main d'effleurer la sienne. Je me retournai pour regarder le tableau, faisant comme si de rien n'était. Mais mon cœur battait fort dans ma poitrine. Sa main était douce. Sûrement plus douce que la mienne. Mes yeux gris se posèrent sur la toile et mon cœur eut un raté. Mon souffle se coupa l'espace d'une seconde. C'est... c'était... moi ? Je me repris très vite et souris.

''Très joli.''

J'avais remarquer son sursaut, j'avais noté sa voix, j'avais compris qu'elle savait et qu'elle ne dirait rien.

Espoir fou
d'une autre dimension
d'un amour impossible

J'avais fait le lien entre mon obsession et elle, entre mon impression de vide quand j'était seul et l'explosion dans mon coeur quand je la voyais... Mais je me taisais, je n'avais pas le droit, le morale et les reglements était clair, il ne falait je n'avais pas le droit. Mais personne ne peux dire ou il frappe, ni même quand alors pourquoi chercher à comprendre. J'avais arreter de vouloir comprendre des le premiere jour, des ce cours majestueux ou je l'ai vu entrer en cours... Comment ne pas perdre pied devans une tel beauté. Je regarde mon tableau... En apparence, mais en réalité je la regarde elle, don incompréhnsible pour qui ne sais pas voir au dela des apparences mon don ne ce résume pas uniquement au objet mais également aux corps.. Je voyais au travers de mon propre corps, je la regardais, je la dévorais du regard.

Amour impossible
Envie irrépréssible

Je resta longtemps ainsi sans dire un seul mot, me contentant d'admirer ses formes si parfaite à mes yeux puis je me rendit conte d'une chose, sa mains avait froller la mienne, la douce chaleur que j'avais ressentit, le frisson qu'elle avait eu... Communion. Sa peau douce de satin contre la mienne, j'eu envie de la prendre dans mes bras, de ne plus la lacher, de tout lui avouer et de partir tres loin pour ne pas la faire souffrir.

" Merci!"

C'est tout ce que je dit.

« Gret'chen »

C'est tout ce que tu as trouvé à dire. C'est tout ce que tu réussi à me dire. C'est déjà beaucoup. Moi je n'arrive pas à articuler la moindre phrase. Je ne dis pas ça parce que je suis muette. Non. Mais parce que tout se chamboule dans ma tête et je n'arrive pas à réfléchir. Je ne comprends plus rien. Ni mes propres réactions ni les siennes. J'ai toujours su lire ce que cachais une personne. J'ai toujours réconforté les autres. Jamais je n'ai connu l'échec depuis ce jour. Pourtant, jamais je n'ai douté une seconde qu'un jour je ne réussirais pas. Mais jamais je n'aurais pensé qu'un jour je n'arrive plus à réfléchir. Jamais je n'aurais pensé que c'est moi que je dois aider. Moi et moi seule. Personne ne peut m'aider. Et je me demande si j'en serais capable. Je crois que c'est trop... compliqué...

Je croisais mes bras sur mon ventre et observai le tableau. Comme si je cherchais les défauts. Mais c'était surtout pour ne pas penser à autres choses. Pour ne pas le regarder. Pour ne pas le toucher. La toile était trop parfaite. Je ne lui trouvais aucun défaut. Je me surpris en train de mordre ma lèvre. Qu'avais-je fais pour devoir souffrir autant ? Dites-moi ma faute. Dites-moi ce que j'ai fais pour que je sois la cible de ses flèches. Une flèche qui m'atteint le jour où je suis devant lui. Dieu de beauté et d'intelligence. Laissez-moi croire une dernière fois que tout ça n'est pas vrai. Laissez-moi croire une dernière fois que ce mal là je ne lui ai pas vraiment fait...

''Cette fois, je m'avoue vaincu.''

Je souris et me rassis sur le banc. La phrase tournait en boucle dans ma tête. « Je m'avoue vaincu. » Vaincu par quoi ? Phrase pour qui ? Etait-elle vraiment pour Arän ? Je baissai la tête pour réfléchir. Mais je n'y arrivais pas. Je ne pouvais tout simplement pas me perdre dans mes pensées. Etant donné qu'il était présent partout où j'avais l'habitude de m'évader. Un sourire amusé étira mes lèvres. Décidément, j'ai le don pour m'enfoncer dans des situations compliquées.

* Victoire en douceur
Defaite de malheur *

Vaincu par quoi? Par son coeur qui bat un chamade incontrolable, par mon regad qui voudrais la suivre partout ou elle va... Je ne sais pas et ça m'enerve. Que ce passe-t-il dans ma tete, quel est cette tempete de sentiments divergeants? Je ne sais plus rien de moi même. COmment je m'apelle qui je suis ce que je fait ici... Rien ne me reviens une seule chose reste,
Elle. Je prend ma respiration , le derniere emplis de son doux parfum puisqu'elle repars, deja? Elle retourne sur ce banc si lointain à mon gout. Que faire? Je ne sais pas. POurquoi? Pourquoi moi, pourquoi elle pourquoi nous.

Doucement le puzzel ce met en place dans la confusion demon cerveau, un sentiment gagne le combat pour ce faire entendre, l'Amour. Oui c'est peut etre ça je l'aime. Mai sje n'ai pas le droit. Je ne peux pas aimer une éleve, aimé mon éleve. C'est interdit, mais n'aivais-je pas dit, que je lui accorderais tout, je je renirais tout, juste pour elle? Oui c'est peut etre ça... Mais avais-je le droit, le droit de lui faire ça...

Tant de question sans réponces, tant de réponce sans questions. J'aimerais tant que ce sentiment soit éternel et qu'elle aussi ressente cette envie... Je me prend à rever d'un avenir à deux, ou elle et moi serions réunni mais pour l'heure, elle est loin de moi, trop loin...

" Reviens..."

Mon coeur meurt, mon murmure s'essouffle... Sans elle...

« Gret'chen »

Si tu savais Arän, ce qu'il se passe en moi. Si tu savais Arän, mon passé si horrible. Si tu pouvais me comprendre Arän. Si tu pouvais me faire oublier tout ça. Me rendre plus joyeuse que je ne le suis déjà. Je sais que parfois, je fais du mal aux autres. J'ai vu Kassandra pleurer une fois. Fuis-moi Arän. Eloigne-toi de moi. Du démon que je suis. Si tu restes trop près, je finirais par te faire du mal. Et ce mal là, je ne le souhaite pas.

Mon cœur bat si fort loin de toi. Il me fait presque mal. Il aimerait que le tiens se rapproche encore un peu. Il aimerait le sentir tout près de lui. Il aimerait entendre le tiens battre doucement. Il aimerait te regarder dans les yeux pendant des heures entières. Il aimerait te murmurer des mots doux à l'oreille. Il ? Mon sourire amusé s'agrandit. Pourquoi ''il'' alors que je pourrais dire ''je'' ? Envie de rire, envie de fuir. Envie de lui dire. Lui dire que mon cœur a chaviré dans un océan d'un violet intense.

Je me meurs si loin de toi. La vie perd ses couleurs. Les sourires disparaissent, les silhouettes deviennent des ombres. Des ombres qui dansent étrangement. Elles semblent si lasses, effrayantes. Mais quand tu es là, près de mon cœur qui fait boum si fort quand je te vois, tout redevient normal. Les Ombres redeviennent des Hommes. La Mort laisse place à la Vie. Et la Vie à l'Amour.
Je me relevai doucement. J'observai les gens vivre tranquillement. Marchant en calme, discutant gaiement. Les problèmes de la vie n'avaient pas l'air de les atteindre. Ils semblaient si heureux d'être ici, dans cette académie. D'avoir enfin trouvé un chez eux, un endroit qui les accepte comme ils sont. Je souris de plus bel. Je m'arrêtai à côté d'Arän. Mes joues se teintèrent de rouge. Il faut que j'ose lui parler. Lui demander. Après tout, c'est pour lui que je le fais. Mes mains s'agitèrent en des gestes souples et rapides. Je n'arrivai pas à faire lent, mes mains suivent la folle course de mon cœur.

''Arän, pourrais-tu me prêter une toile ? C'est pour le travaille que vous... tu m'as demandé de faire...''

Mes joues devinrent de plus en plus rouge. J'avais hésité sur plusieurs mots alors que d'habitude, je les trouve tous d'un seul coup. Je n'ai jamais eu de problème pour m'exprimer. Mais avec lui... Quand mes yeux gris croisent son regard violet... Je ne sais plus quoi faire. Je ne sais plus quoi dire. Je ne trouve plus les bons mots. J'ai toujours cette envie de le vouvoyer. De le respecter. Mais j'ai réfléchi. Peut-être que je le respecte plus quand je le tutoie. Parce qu'il préfère ça. Parce qu'il le voulait. Je ne sais pas. Je suis perdue. Perdue dans l'océan violet de son regard. J'ai du mal à résister, envie de toucher sa peau si douce, envie d'emplir mes poumons de son parfum. Mais surtout, envie de fuir si loin. J'ai peur. Peur de lui faire du mal...

" Tu peux me tutoyer et pour la toile... Oui si tu veux."

* La vie est si dur avec moi
pourquoi es tomber sur toi?*

« Gret'chen »

Envie de tes bras, envie de toi. Ton visage de Dieux devant mes yeux même quand tu n'es pas là. Je ne peux plus penser sans que ce ne soit à toi. Dis-moi, qui es-tu Arän ? Qui es-tu pour avoir pu m'ensorceler si facilement ? Es-tu une Chimère, une Illusion, existes-tu vraiment ? Est-ce quelqu'un comme toi que l'on appelle "Dieu" ? Comme dans la mythologie, quand les Dieux prennent forme humaine, ils sont si parfaits... Mais, es-tu comme eux, abandonnes-tu les victimes de ton enchantement ? J'aimerais que tu me dises non, que tu ne sois pas l'un d'eux, que je puisse continuer mes études en étant sûre que tu ne sois pas loin. Désolée, je ne sais plus ce que je dis, l'amour rend aveugle d'après certains, moi, il me rend sans voix. Idiot, n'est-ce pas ?

Besoin de toi, besoin de temps. Si tu pouvais savoir à quel point j'ai honte de moi. A quel point je me sens idiote. Tu te rappelles en cours ? Ma haine contre toi ? Tu ne sais pas pourquoi, n'est-ce pas ? Mais je ne me sens pas capable de te le dire. Je te haïssais parce que tu lui ressemblais trop. Pas physiquement, non, mais plutôt intérieurement. Tu étais si parfait. Puis ta façon de te mouvoir, de t'exprimer. Pas seulement avec ta voix mais aussi avec tes mains. Tes gestes étaient si magiques. Kassandra ne comprenait pas pourquoi je t'en voulais, elle ne devait pas voir ce que je voyais. Tu es unique Arän, unique et parfait. Peut-être même trop pour moi. Pour la simple humaine que je suis. Oublie-moi, ne me porte pas tant d'attention. Je ne pourrais pas te combler. Je ne suis pas assez bien pour toi...

Peut-être que je me trompe, peut-être que tu t'intéresses à moi que parce que je suis une bonne élève. Une élève douée, silencieuse et à l'écoute. Je l'espère Arän, j'ai envie de me tromper. Dis-moi que si je n'étais pas à l'Académie, dans ton cours, tu ne t'intéresserais pas à moi. Dis-moi Arän qu'à tes yeux je ne suis qu'une élève comme les autres, une adolescente comme il y en a tant seulement que je ne suis pas hystérique. D'un autre côté, j'aimerais que tu m'expliques mon problème, que tu me dises que ce n'est rien de grave, juste un passage de la vie. Que tu me dises clairement que je suis tombée amoureuse d'un homme, mais je ne peux pas l'aimer. Pas encore. Suis-je prête ? Non, je ne crois pas que ce soit ça le problème, c'est plus simple. Je n'ai pas le droit.

"Pourrais-tu la garder ? Je ne rentre à l'appartement que ce soir. Excuse-moi."

Dites-moi comment je fais pour parler d'une chose alors que je pense à une autre ? Dites-moi pourquoi je ne le regarde pas pourquoi je n'ose pas. Pourquoi alors que d'habitude j'ose, je fixe tout le monde dans les yeux, je les sonde. Ce n'est pas une question d'oser, je ne veux tout simplement pas. Alors, dites-moi pourquoi je ne veux pas. Dites-moi, vous que la sagesse illumine. Eclairez-moi, illuminez ma voie, guidez-moi.

Pourquoi ne pas faire ce que mon coeur hurle? Pourquoi je n'écoute pas ce battement qui me dit vas vers elle? Je ferme les yeux avans de lui répondre doucement, de reprendre la toile en disant:

" Oui bien sur, je te l'approterais en rentrant chez moi si tu veux."
J'avais juste envie de prendre son corps contre le mien... Enlacer sa silouette si belle. Je me leve sans vraiment y réfléchir, lui prend la main... Avan de me reveiller et de partir à quelques metres confu. Qu'es qui m'arrive...

« Gret'chen »

Qu'est-ce qui m'arrive ? Pourquoi quand je te vois t'éloigner mon coeur saigne ? Pourquoi chaque pas qui t'emmène loin de moi me donne envie de pleurer ? Pourquoi ma main dans la tienne était-ce si magique ? Trop de pourquoi pour aujourd'hui. Je n'en peux plus. J'en ai marre de réfléchir avant d'agir. J'en ai marre de ne plus rien comprendre. Pourquoi ci ? Pourquoi ça ? Je ne peux plus supporter tout ça. Laissez-moi en paix. Laissez-moi respirer. Doucement mon bras se tend, je le laisse faire, je suis mes envies. Mes doigts se referment autour de son poignet si fragile et si solide à la fois. Je respire enfin, je retrouve la paix. Un si petit murmure s'échappe de mes lèvres, un tout petit murmure pareil à un souffle. Je ne peux pas faire plus, mais je sais qu'il comprendra. Un murmure, un souffle, un mot.

"Non..."

Mes yeux lui crièrent de rester avec moi. De ne pas me laisser. Je n'aimais pas le voir loin de moi. S'il te plait, reste près de moi. Regarde mes yeux qui te crient mon désespoir quand tu t'en vas. Ce n'est pas souvent que je montre ce que je ressens à travers eux. Arän, si tu veux, lis en moi. Trouve mon coeur et prends-le. Je n'en ai plus besoin quand tu es loin. Il me fait si mal... J'essayais de comprendre, je ne comprenais pas. J'essayais de trouver, je ne trouvais pas. Quand j'ai tout arrêté, quand j'ai cédé la place à mes envies, mes pulsions, j'ai tout compris. Je crois que c'est plus simple que ce que je cherchais. Je me compliquais la vie pour me rassurer. Pour me dire que ce n'était pas possible. Que je ne pouvais pas. Mais pourtant c'est ça, j'en suis sûre maintenant.
Trois mots simples pour expliquer mon bonheur.
Trois mots simples pour expliquer mon malheur.
Je t'aime.

« Gret'chen »

Non, ne pars pas. Quand tu es si loin, je ne suis plus rien. Non, ne reste pas. Quand tu es si près, j'ai peur du mal que je te ferais. Tes bras dans mon dos, ton corps contre le mien. J'aime ce contact si particulier. Je ne peux plus me retenir. Mes mains glissent dans son dos, je me sers contre ce corps si parfait. Silencieusement les larmes coulent sur mes joues. Je ne les retiens pas, je ne peux plus les retenir. Ce sont des larmes de douleur. Je souffre en pensant que je n'ai pas le droit. En pensant que je ne peux pas. Sans vraiment le vouloir, je m'imagine des heures dans ce parc, seulement lui et moi. Sans un bruit des murs bouchent les entrées du parc. Nous sommes seuls et personne ne peut voir. Je continue de pleurer sans réussir à m'arrêter. J'ai envie de crier. De hurler au monde ce qui ne va pas. Pourquoi n'ai-je pas le droit ? Pourquoi moi ? Pourquoi lui ? Pourquoi nous ?

Doucement je me détache de son corps. Je me laisse tomber à genoux et je continue de pleurer. Depuis combien de temps n'ai-je pas pleuré autant ? Depuis combien de temps ne me suis-je pas sentis aussi bien et mal en même ? Depuis combien de temps mon coeur ne m'a pas fait autant de mal ? Je ne peux plus bouger alors j'imagine. J'imagine cette voix qui lui murmurera un pardon. Pardon qui ne servira à rien puisqu'il ne pourra jamais me pardonner ça. Quitter ses bras pour pleurer. Regarde Arän. Regarde le mal que je te fais. Pars Arän. Fuis-moi. Je t'ai déjà fais trop de mal comme ça.

"Pardonne-moi... Arän..."

Elle m'échapa et pleura a genoux dans l'herbe. Plus de force pour parler normalement, dans SA normalité... Je m'agenouilla pres d'elle, ma main carressa tendrement ses cheveux. Ma voix s'eleva tendre aussi, amoureuse, je n'avais plus à me cacher, plus a enterrer ce sentiment qui me rongeait depuis longtemp.

" Pourquoi faudrait-il que je te pardonne Gret'"

Je ne le lassais pas de la douceur de ses cheveux, de l'odeur de sa peau... Je ne la regardais pas, je la dévorer du regard, l'admirant totalement.

« Gret'chen »

Pourquoi devrais-tu m'en vouloir ? Ne vois-tu pas le mal que je risque de te faire ? J'ai peur de moi-même. Je n'arrive pas à comprendre pourquoi je ne veux pas. J'ai toujours eu le don pour faire de mal à mes proches. Enfin... C'est ce que moi je pensais. Quand je blessai ma mère, elle souriait, moi je pleurais. Quand ma sœur pleurait pas ma faute je ne pouvais plus rien faire, parfois je m'évanouissais. Je semais le mal mais pas dans le bon sens. Au lieu de faire du mal à mon père, que je détestais, je faisais du mal à ceux que j'aimais plus que tout. S'il te plait Arän crois-moi, comprends-moi. Je relevais la tête, les larmes continuant de ruisseler sur mon visage. Sans y réfléchir, je me blottis contre lui.

"J-je ne sais pas... J-j'ai peur de te faire du mal..."

Je ne sais pas pourquoi maintenant que j'étais contre lui je n'arrivais plus à partir. A fuir. Tout à l'heure j'avais glissé si facilement... Là je ne pouvais plus bouger. J'étais bien contre lui. Je fermai les yeux, mon coeur ralentit sa course et mes larmes se tarirent. J'aurai aimer rester ici encore et encore. Mais je crains que ce soit impossible. Je n'ai pas le droit. J'aimerai partir mais je reste. J'aimerais avoir le droit de t'aimer librement. Sans le cacher, ni à toi ni aux autres. Mais je n'ai plus la force de le faire. Il faudra bien qu'un jour je te le dise. Je me détache de lui, trouvant ma force dans mon coeur amoureux. Alors je le fixe de mes yeux gris qui lui passèrent ce message que je ne pouvais formuler avec des mots. Je t'aime. Désolée, mais il le fallait. Il fallait que je te le dise, il fallait que je le fasse.

Je referma mes bras autour de son corp de jeune femme et la berca doucement contre moi.

" Jamais tu ne me fera de mal ma belle, jamais tu ne le poura."

Ma voix était calme, suave et tendre. J'aimais etre avec elle, l'enlacer ainsi me procurer une explosion de bonheur juste là, au niveau de mon coeur. J'étais heureux, comme un enfant à noël mais moi, avec elle, c'était Noël tous les jours. Puis un murmure sorti de ma bouche, je voulais une chose, la calmer et pour ça j'avais une idées:

" Peut tu fermer les yeux s'il te plait Gret'chen."

« Gret'chen »

Jamais ? Tu es sûr ? Je... « Non. Jamais je n'aurais pus te toucher. Jamais je n'oserais imaginer une telle chose. Jamais. » J'ai dis ça, c'est vrai. Mais... Si j'avais mentis ? Si j'avais dis ça s'en vraiment être sûre ? Non... C'est... c'est impossible... Parce que je ne voulais pas dire ça... Je me suis juste imaginée que je lui dirais un jour... Un jour... Mais aujourd'hui je ne sais plus ce que je dis, ce que je fais. L'Amour me pousse et m'entraîne. Ne peut-il pas me laisser respirer un peu ? Ne peut-il pas me laisser décider ? Je pense être assez grande pour ça. Je pense avoir vu assez de choses pour pouvoir me débrouiller. Laissez-moi tranquille. Laissez-moi l'aimer.

"J-je... euh... oui..."

Doucement mes paupières se refermèrent sur mes yeux gris. Je ne vis plus rien à part un léger voile rouge. Alors je me perdis au fond de moi. Je me calmai d'un seul coup. J'entendais mon coeur battre doucement, puis un autre coeur entra dans la danse. Je sursautai imperceptiblement. C'était le sien, celui de Arän. Sans vraiment réfléchir à ce que je faisais, je calquai le rythme de son coeur. J'eus envie d'ouvrir les yeux, de le regarder encore et encore. Mais je ne le fis pas. Il m'avait demandé de fermer les yeux, je les laisserai fermer. Son image s'imposa alors, remplaçant le voile rouge. Je n'avais pas ouvert les yeux, je pensais juste à son visage qui ne me quittais jamais bien longtemps. J'attendais, j'avais confiance en lui.

Elle ferma les yeux et son coeur ce calme andis que le mien prennet un rythme plus régulier, maintenant qu'il n'était plus troublait par ce regard d'acier si merveilleusement enchanteur... Mon idée était simple mai sje n'osé pas, je ne voulais pas m'imposer mais je le ferais, pour elle, pour moi, pour nous, parceque j'en avait envie et parceque nous en avions besoin tous les deux. Mon corps se pencha au dessus d'elle, doucement mon souffle effleura son visage, mes levres ce poserent sur les siennes, pour ce retirer quelques secondes plus tard... Un sourir les illuminaient, mon coeur s'était affolé à l'instant clé, je n'avais jamais oser ne serrait-ce qu'imaginer un tel bonheur pour mon pauvre coeur...

" VOila, tu peux ouvrir les yeux maintenant."

Murmure imperceptible dit à son oreille, mes yeux hurlaient mon amour, ma voix l'enfermer et mon coeur murmurai un chant devenue entetant...

« Gret'chen »

L'envie d'ouvrir les yeux étaient si tentante. Quand je sentis son souffle sur mon visage, mon coeur eut un raté puis il fit un bond dans ma poitrine. Le contact de ses lèvres contre les miennes. Puis il s'éloigna. J'ouvris doucement les yeux. Du bout des doigts j'effleurais mes joues devenues écarlates. Un sourire timide étira mes lèvres tandis qu'une larme de joie roulait sur mon visage. Je laissais ma main glisser jusqu'à sa joue que je frôlais doucement. N'osant pas faire plus. Je me serrais contre lui. Je devais avoir l'air idiote avec les joues rougies et l'impossibilité de l'embrasser en retour. Je me serrais une nouvelle fois contre lui, approchant mon visage de son oreille. Le plus près possible pour qu'il entende les mots que j'allais essayer de murmurer. Je sais, je suis muette. Mais j'arriverais à faire ça. Pour lui.

"J-je... t'aime..."

Effort surhumain pour amour impossible. Je fermai les yeux et humai son doux parfum. Si vous saviez à quel point c'est dur rien qu'un souffle dans ce genre. J'ai l'impression de m'arracher la gorge mais mon coeur bat si fort que je n'en ai plus rien à faire maintenant. Je l'aime et rien ni personne ne pourra m'empêcher de l'aimer. Même si je n'ai pas le droit.
Laisse-moi te montrer à quel point je t'aime.
Je me détachai de lui pour le regarder dans les yeux. Aujourd'hui je ferais ce que je n'ai jamais osé faire avant. Je ne pus empêcher mes joues de rougirent ce qui m'arracha un sourire. Mon visage s'approcha du sien si lentement. Puis mes lèvres effleurèrent les siennes, un frisson parcourut mon dos. Je déposai un baiser sur ses lèvres, n'essayant même pas de compter les frissons, ils étaient trop nombreux. Je souris, heureuse comme jamais je n'ai été heureuse. Ses yeux violets attirant les miens comme un aimant attire le fer.
C'est notre secret entre toi et moi...

Je ne savais même plus ouj'habiter, le contact de ses levres sur les miennes, le son si beau de cette voix enfermer au plus profond d'elle qu'elle faisait j'aillir pour moi... Je la sera un peu plus contre moi, j'étais heureux. Bien sur je n'avais pas le droit, bien sur j'étais hors la lois, mais peut m'importais, ils comprendraient. J'étais pres à tous pour elle, pour qu'ils me laissent avec elle, dans ses bras, ne jamais etre séparé. Je la regarda tendrement, elle l'avait fait, elle l'avait vraiment dit, et les larmes sur ses joues étaient les reflets exactes des miennes, des larmes de joies. Ma voix s'éleva, douce, calme, amoureuse...

« Je t'aime. »

Un peu plus à chaque instant que dieu nous accorde. J'aimerais tant avoir le droit. Je suis hors la lois mais je suis heureux, Mon frere, Noctis, je sais et je comprend maintenant combien tu peux tenir à ta Aiko, autant que moi je tiens à ma reine, à ma Gret'chen.

Je suis coupable d'un crime
dont je suis également la victime...

» Entre (libreeuh)