Le sport c'est bon pour décompresser ..... [PV Jade]

Je ne tenais plus en place que se soit à l'académie, dans mon appartement ou dans le village. Il fallait que je fasse quelque chose pour me calmer, et l'idée de courir arriva comme une bonne nouvelle. Je m'étais mis en tenu de sport, short, tee-shirt et basket, et j'avais emmené un sac avec des affaires de rechanges et des bouteilles d'eau.

Lorsque j'arrivais au stade il n'y avait personne, normale puisque c'était la fin d'après midi et que tout le monde et chez eux afin de se reposer de leur journée épuisante. La mienne avait était ennuyeuse vu que je n'avais pas eu beaucoup de cours. Je posais mon sac sur un siège et descendis sur le terrain afin de commencer à courir doucement pour m'échauffer.

Tandis que je courrais, mes pensées vagabondèrent vers le ressent événement qui venait de m'arriver. Elle m'avait empoisonné, je l'avais dans le sang, mon cœur ne battait presque plus que pour elle. Cependant, j'avais peur que cet envie ne soit pas partagé et cet peur fit accélérer mon rythme de croisière. Puis je repensa à ce coup de téléphone concernant mes parents qui avaient rejoint ma femme et ma fille. Ils les avaient rejoint il y a quelques jours et j'étais convié à assister à l'enterrement ma j'avais décider de ne pas y assister même si se sont mes parents, je ne peux endurer encore plus de souffrance de la perte de la femme que j'ai aimé et qui m'avait aimé.

Sans m'en rendre compte je m'étais mis à marcher, le souffle me manquait et je commençais à avoir du mal à le reprendre. Est-ce que j'ai couru trop longtemps ? Peut-être bien, une pause était la bien venue. Je m'assis sur le siège placé juste à côté de mon sac et vida une des bouteilles d'eau que j'avais apporté. J'en profitais également pour admirer et profiter du calme présent, et aussi pour reprendre mon souffle tranquillement.

Je fermais les yeux afin de me concentrer sur ma respiration, pour qu'elle devienne régulière. Juste après avoir réussi mon exercice je gardais le yeux fermais afin de faire le vide en moi sauf qu'un bruit que je n'avait pas prédit se fit entendre. Je fit un bon de deux mètres tellement que j'étais surpris par la proximité du bruit. J'ouvris les yeux et ne vit personne, qu'est-ce que c'était ce bruit et qui en est à l'origine ?

C'est quoi cette fille qui joue avec son sang ! Elle est bargeot ! Et puis d'où elle sort ? J'étais pourtant sur d'être le seul dans le stade ! Il faudra que je fasse plus attention la prochaine fois !

Elle aussi trouvait que j'avais un charme incroyable. Je suis maudit jusqu'à la fin de mes jours ! Ma peur était passé mais l'inquiétude augmenta en la voyant s'assoir à mes côtés. Cette joueuse de sang s'appelait Jade, son nom va parfaitement avec se qu'elle venait de faire avec son sang mais c'était un joli nom.

- Kuran Kaname, je suis professeur à l'acadmie. Mais je ne donne pas beaucoup de cours donc les élèves ne me voient pas souvent.

Me présentais-je et expliquais-je et sans men rendre compte je venais de répondre à ses questions posées mentalement. Purée il faut que j'arrête de parler sur des sujet que les personnes avec qui je parle non pas mentionné. Mais je suis extrêment doué pour ça donc il m'est impossible d'arrêter.

Je regardais le stade, le terrain en train de se fondre dans le noir de la nuit. Mes pensées vagabondèrent avant de trouver du réconfort sur l'élève qui avait empli mon coeur froid et vide de lumière et de joie. Je ne pourrais oublier son contact, son corps lové contre le mien.

- Pourquoi mes pensées se dirigent toujours vers toi, mon tendre amour

Chuchotais-je plongé dans mes pensées cependant, je me rapelais soudain de la présence de Jade. Je l'avais presque oublié, je suis pitoyable. Je décidais donc pour remédier à mon comportement étrange d'il y a quelque minutes de courir pour décompresser des ses souvenirs tendre.

- Que dirais-tu d'un course de vitesse , Jade ?

Et sur ses paroles je me dirigeais vers le terrain pour commencer à courir, même si elle n'accepté pas j'avais besoin de me défouler en faisant du sport, même si j'en suis pas un fan.

Un sourit fit son apparission sur mon visage parce qu'ell m'avait suivi. Elle était presque plus rapide que moi, je dois dire. Discrètement j'écoutais ses pensées, elle commençait à paniquer parce qu'elle avait l'impression que quelqu'un sondait son esprit. Elle allait même jusqu'à pensée que cela pouvait être moi donc elle bloqua son esprit. Incroyable c'est la seule personne de faire ça !

Après plusieurs mètre de course à grande vitesse, je l'entendis s'arrêter, c'est étrange moi qui pensé qu'elle pouvait vraiment tenir le coup. Je retournais la voir pour lui demander pourquoi elle s'était arrêter lorsque je vis qu'elle était désorientée.

- Jade ! Qu'est-ce que vous avez ? Vous n'avez pas l'air d'être dans votre assiette ?

Demandais-je inquiet car je ne voulais pas qu'une jeune fille comme elle ne rencontre des problèmes. Je mis mes mains sur ces épaules et mis mon visage à la hauteur du sien pour essayer de la rassurer.

- Jade !

Prononçais-je car elle m'inquiétait. Cela se voyait comme le nez au milieu de la figure qu'elle n'allait pas bien. Je l'a pris dans mes bras et la ramenait aux sièges qu'on occupé car si elle faisait un malaise ou quelque chose comme, je veux être sur d'avoir ce qu'il faut sous la main pour la soigner.

Elle voulait que je parte mais pourquoi faire, qu'est-ce qui est en train de lui arriver ? Je ne pouvais pas la laisser seule alors qu'elle est dans cet état là l Je m'inquiétais poue elle mais j'avais peur, peur qu'il ne lui arrive quelque chose.

Elle se dirigea vers un bosquet, étrange c'est elle qui s'en va alors qu'elle m'a dit à moi de m'en aller. Je ne pouvais que la suivre, son état m'inquiétais trop pour la laissser toute seule. L'instinct de père inquiet protecteur refis surface en moi, cela me rassura un peu, pour moi cela voulait dire que je n'avais pas perdu mes réflexe paternel.

Lorsque je la vis elle était recouverte de sang, et une partie de se sang tournoyé autour d'elle. Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Deux faux de sang apparurent, ce qui me fit arrêter ma marche en sa direction. Qu'est-ce qui lui prend ? A moins que ce qui se passe ne soit fait sans son contrôle, quelqu'un d'autre doit contrôler se qui se passe.

- J......Jade, qu'est-ce qui vous arrive ? Pourquoi vous êtes recouverte de sang ? Et pourquoi il y a deux faux de sang ?

Demandais-je choqué, car cette vision ne pouvait que choquer. Je rester immobile, que pouvais faire de plus ? Je risque à tout moment de recevoir un coup de faux, que je soit en mouvement ou non. Mais je ne pouvais fuir, quelque chose en moi insister pour que je reste planter là à la regarder.

Elle revint à elle en un claquement doigt. Vraiment étrange cette Jade. Le plus étrange c'est qu'elle savait ce qui s'était passé et qu'elle s'en excusait. Elle a vraiment besoin d'aide pour contrôler son don et elle en pleurait. Je vous jure les filles qui pleurent àcause de la non maitrise de leur pouvoir c'est quelque chose de spécial. Je la pris dans mes bras afin de la consoler.

- Je veux bien essayer de vous aider à contrôler mais je ne vous promet rien

Dis-je pour la faire sourire et parce que j'avais vraiment envie de l'aider. Je la ramené à nos places dans les tribunes et je remarqué que j'avais besoin d'une bonne douche.

-Mais avant de vous aider, je vais prendre une douche et parès je vous consacrerais toute ma soirée pour vous donner des conseils afin que vous puissez métriser votre don d'accord.

Je pris mes affaires et me dirigeais vers les vestiaires, et entra et me jeta sous l'eau chaud. L'eau m'apaisa énormément, j'avais couru plus vite et au délà de mes forces, pourquoi est-ce que j'ai fait ça ? Je ne pourrais pas le savoir mais bon courir m'avait fait un plus grand bien d'autant que cette douche chaude aussi.

Je remis un short et une chemise pas entièrement boutonné, récupérais mes affaires et retourné aux tribunes. J'espère que je n'ai pas été trop long. Je posais mon sac là où je l'avais posé et m'assis à côté de Jade.

- Excuse moi si j'ai été long, Bon pour commencer tu peux faire le vide dans ton esprit puis tu t'imagine une situation, n'importe laquelle et tu doit utiliser une partie de ton don que tu métrise parfaitement. Désolé si je m'exprime mal ce n'est pas le genre de cours que je donne.

Expliquais-je expérant qu'elle fasse ce que je lui ai demandé et qu'elle m'ait compris.

Je m'arrêtais et méditais les paroles de Jade. Elle avait compris que je ne voulais pas l'impliquer dans mes histoire étant donné que je suis professeur et elle une élève. Sa proposition de lui en parler entra dans une oreille puis ressorit par l'autre. Que faire ? je ne savais absolument pas quoi faire ! Lui révéler mon passé se qui veut dire de la souffrance en plus ou ne rien lui dire et garder tout pour moi et souffrir en silence ?

Je tombais à genoux, je ne savais pas quoi faire et je ne pouvais retenir mes larmes. Ma femme ma fille et mon fils me manquaient énormément. Et je me mis à frapper le sol, de mon poing droigt pour me défouler un peu. Je sentais et savais que Jade était non loin de moi à s'inquiéter.

- Ma femme, ma fille et mon fils sont morts dans un accident de voiture il y a presque un an.

Criais-je de désespoir toujours en pleurant car je ne pouvais faire que ça. Rien n'y personne ne pourra me les ramener. Je voulais les revoir rien qu'une fois, les serrer dans mes bras, leur dire à quel point ils me manquent et que je les aime. Mais je ne pourrais jamais, pourquoi ?

- Je voudrais les revoir mais cela m'aie impossible, pourquoi ? Pourquoi ?

Dis-je toujours en train de pleurer et de cogner mon poignet contre le sol. C'était la seule chose que je pouvais faire.

Même si elle me prit dans ses bras, fit apparaître ma famille cela ne m'aida pas. Ma tristesse était toujours aussi grande. Elle m'encourageait à leur parler mais je ne pouvais pas, ils n'étaient pas réelles, ils ne sont rien. Que du sang mis à l'image de ma famille disparuent. Ils n'étaient rien d'autres que des marionnettes sans coeurs.

Je m'enlevais de l'étreinte de Jade, me levais et parti. Je tournais le dos à Jade et à cette famille de sang, je ne voulais pas voir des marionnettes, je voulais voir ma vrai famille, celle qui me prendrai dans ses bras dès qu'on serrai dans la même pièce. Je voulais revoir ma femme qui comprendrait en un seul regard mes sentiments, se ce que je ressent. Alors que là ils n'y avait rien pas d'émotion, absolument rien.

Je m'éloignais le plus loin et le plus vite possible. Je dus me cogner quelque part car je me retrouver à terre sur le dos. Je me mis sur le côté qui me permettais d'être face au mur, ou grillage je ne sais pas vraiment et je fermais les yeux.

Lorsque je les ouvris, je me retrouvais chez moi dans mon lit avec ma femme à côté de moi et mes enfants sur notre lit. Je vis dans leurs regard qu'ils me manquaient autant que je leurs manquaient et qu'ils m'aimaient autant que je les aimais. Je leurs fit comprendre que je voulais être seul avec leur maman et ils nous laissèrent. Toujours aussi adorable ces gamins. Je me tournais vers ma femme encore plus plus belle que dans mon souvenir. Elle me souriait elle rien qu'en me regardant elle comprit mon mal être, mon manque comme si elle comprenait tous mes sentiments et sensation que je ressentais. Elle se pencha vers moi pour m'embrasser et bien évidemment je le lui rendit.

- Ne t'inquiète pas pour nous chéri, nous allons bien et je veillerais toujours sur toi parce que je t'aimerais toujours.

Sa voix était encore plus douce et belle qu'avant mais une question me vins à l'esprit et je n'osais pas lui demander. Alors je ne dis rien et l'embrassa pour profiter de sa peau, de son parfum, enfin d'elle.

- Je ne t'en voudrais pas si tu trouve une autre femme, je veux que tu sois heureux et si c'est avec une autre femme je ne dirais rien, sauf pour te donner mon avis sur elle.

Chuchotta-t-elle à mon oreille et je ne pus que sourire et lui murmurer des "je t'aime" et des "merci". Au bout d'un moment je dus m'endormir, car je sentais ses mains sur ma tête et sa voix me bercais, comme lorsque que j'avais besoin de me reposer et de me calmer quand j'avais eu mes rares très rares crises de colère. Et comme à chaque fois, je m'endormis.

Je n'ouvris les yeux mais je savais que j'étais toujours au même endroit mais au lieu d'être par terre j'étais dans les bras de Jade. Alors je me repositionner pour être dans une meilleur posture et je calais ma tête non loin de son coeur. Les battements de son coeur me calmer presque à m'endormir.

- Merci

Dis-je dans un souffle pour la remercier de m'avoir aider, même si ce n'est pas beaucoup, à faire passer mon chagrin. Je n'ouvris pas les yeux pour profiter de cet instant.

Son coeur se mit à battre plus vite, ce qui me fit sourire. Elle aussi avait eu son coeur qui s'emballé autant que le mien, mais là rien. J'étais seulement bien dans ces bras, un grand gaillard qui se fesait réconforter par un grain galet. C'était amusant ! Malgré cela je connaissais que trop bien le sentiment qui grandissait en elle et je ne voulait pas qu'elle l'ait pour moi.

- Réservez le sentiment qui grandit en vous pour quelqu'un d'autre que moi s'il vous plait

Fis-je simplement en gardant les yeux fermés, je ne voulait pas croisé son regard, je ne voulait surtour pas m'expliquer. Je voulais juste rester ainsi pendant un petit moment, jusqu'à temps que je reprenne le dessus sur moi et sur mon passé, méditer les paroles de ma femme.

J'ouvris les yeux et posais un regard tendre sur Jade et à la place de la voir elle je voyais ma femme. Elle avait l'air triste et perdu dans ses pensées. Je posais une main sur sa joue, quelle était douce. Je me relevais afin que nos visage soit face à face et maintenant qu'est ce que je fais ? Je m'en vais pour lui ramener un objet qu'elle admire ou je la laisse choisir ? RRAaaa je ne sais paaaas !! S'il te plait dis moi ce que je dois faire !!

- Dis moi ce que je dois faire Christelle, je ne sais plus quoi faire ?

Demdais-je parce que je ne trouvais aucunes solutions. je ne savais vraiment plus quoi faire. Les larmes recommencèrent à coulaient sur mes joues et je posais ma tête sur son épaule espérant qu'elle trouve soultion, qu'elle me dise se que je dois faire.

Sa voix, son apparence étaient exactement identique. Ses paroles elles aussi me réconforter mais ne m'aider guère plus, venaient de ma Christelle. Cependant, ses pensées n'étaient pas pareils. Ce qu'elle venait de me dire ne m'aida point plus car je ne sais pas ce que veux mon coeur. Allons, réfléchissons et concentration, qu'est-ce que mon coeur a comme solution à mon problème ?

Je me concentrais, j'oubliais où j'étais, avec qui, et comment j'étais. J'oubliais tout, et me focalisé sur ce que voulais mon coeur afin de trouver une solution. Je restais là, immobile, toujours la tête sur l'épaule de la personne en face de moi, et je cherchais enfin réfléchissais.

Je suis resté ainsi pendant un certain temps, je ne sais pas exactement mais quand je relevais la tête je ne vis pas ma femme mais Jade et je sus que c'était elle qui m'avait parlé. Mais je savais ce que mon coeur voulais, il voulait ressentir la joie d'être avec quelqu'un, je il voulait être heureux.

- Je ne voulais pas vous faire de la peine, mais c'est ce qu'il y a de mieux pour l'instant.

Déclarais-je comme une excuse car je déteste faire souffrir les personnes que je connais. Elle ne méritais pas de souffrir avec ce qu'elle a vécu, je peux peut-être lui donner le bonheur mais pour l'intant, je préfère prendre mon temps pour savoir si je suis capable de rendre quelqu'un heureux. Je lui ébourifais les cheveux et fis apparaître une rose rose et lui tendis pour lui montrer que j'étais désolé.

- Je sais ce que je veux maintenant mais je préfère attendre encore un peu avant de décider pour mon futur.

Expliquais-je pour qu'elle comprenne et je ne voulasi surtout pas qu'elle prenne mal la déscision que je venais de prendre.

Je lui avait ouvert mon coeur mais est-ce que j'avais bien fait ? Après tout on venait de se rencontrer donc on ne se connaissait à peine. Son menton sur ma tête, sa main caressant la mienne, je ne savais plus quoi faire, penser car je me sentais bien. Mais je l'étais aussi avec Elle, mais je ne devais pas me précipitais dans mes déscisions, je devait d'abord réfléchir mais pendant combien de temps ?

- C'est promis

Dis-je simplement, pour lui promettre de réfléchir même si je n'avais pas attendu qu'elle me le demande pour le faire. Pour détendre l'atmosphère je décidais, de m'amuser comme un gamin même si je suis professeur. Eh oui moi professeur de caligraphie, sérieux et appliquer s'amuse comme un gamin de dix ans.

Je la pris dans mes bras et couru jusqu'à nos sacs, les pris et je m'orientais vers les vestiaire toujours avec Jade dans mes bras et nos sacs dans une main. J'entrais dans les vestiaires des hommes, posait nos sacs sur un coin du banc et me dirigeais vers la douche. J'ouvris à fond l'eau froide pour qu'elle tombe sur Jade, et bien sur comme je n'avais pas envie d'être mouillé je la laché et parti me réfugier dans l'autre parti du vestiaire tout en rigolant.

Je n'ai pas eu le temps de dire "ouf" qu'elle me trainait vers la douche à l'aide de fils de sang. Malgré ma résistance elle réussit à me mettre sous la douche pour être aussi tempé jusqu'au os. Nous chahutâmes pendant deux bonnes minutes sous l'eau et c'était amusant. Jamais je ne me suis amusé autant.

Je fus un peu surpris qu'elle s'éloigne de moi mais j'eu l'expliquation par ses pensées. C'est vrai que son tee-shirt est transparant mais le rendu du tee-shirt blanc mouillé était attirant et je ne pus enlevé mes yeux de cette admirable vu ! (). Quoi que ma chemise montrait bien ma carrure et mes abdominaux.

- Pourquoi s'excuser, c'est moi qui est commencé !!

Dis-je en regardant son regard géné, j'avais réussi à défaire mon regard de son admirable poitrine pour la regarder. Elle qui avait supporter mon allucination, qui m'a aidait à parler de mon chagrin et qui m'avait rendu l'âme du gamin joueur que j'avais oublié.

- Si tu as autre chose que tu veux oser faire, fais-le enfin si tu as envie bien évidemment.

Dis-je en prenant le risque, le très gros risque que cela me concerne un peu, beaucoup ou pas du tout. Tans pis, il faut se jeter à l'eau de temps en temps même si je le sens mal ce qui va venir, j'ai un mauvais présentiment.